Acclamé par les critiques pour sa performance dans I will follow en 2010, Omari Hardwick a enchaîné avec son rôle de Ghost dans la série Power. Avec son physique de sportif, il fait bien des ravages auprès de la gent féminine. Mais qui est Omari Hardwick ? Pour répondre à cette question, suivez le guide.
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Un sportif amoureux des mots
Né le 9 janvier 1974, Omari Hardwick a grandi en Géorgie auprès de son père, le procureur Clifford Hardwick IV, de sa mère Joyce Hardwick et de ses frères et sœurs : Jamil Hardwick, Malik Hardwick, Shani Hardwick. De son nom Omari Latif qui signifie à la fois « Tout puissant » et « Doux », le futur acteur a dès son plus jeune âge deux passe-temps favoris : l’art et le football.
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Il s’intéresse beaucoup au sport lorsqu’il était adolescent : le football (américain évidemment !), le basketball et le baseball étaient ses préférés. Plus tard, le jeune Omari est devenu la star de l’équipe de football de son lycée. Et c’est grâce à ses performances sportives qu’il décroche une bourse d’étude pour l’Université de Géorgie.
A l’Université, malgré ses prouesses sur la pelouse, il rejoint la fraternité Alpha Phi Alpha, première fraternité américaine créée par des afro-américains et participe activement aux pièces de théâtre. Il se focalise aussi beaucoup sur la poésie. A l’obtention de son diplôme, il est désireux de continuer une carrière dans le football malheureusement sa blessure au genou l’arrête net dans son élan et lui ferme les portes de la NFL.
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Des débuts de carrière jonchés d’embuche
Dès l’arrêt de sa carrière de footballeur, Omari s’est tout de suite tourné vers sa deuxième passion : l’art. Il a bouclé sa valise et rejoint New York pour suivre des études de théâtre. C’est à ce moment-là qu’à vraiment commencé le parcours du combattant.
Pour payer ses études, il a accepté tous les petits boulots qui s’offraient à lui : livreurs de pizzas, plâtrier, chauffeur de taxi, il assurait même des services de lavage auto. Malheureusement, malgré le fait qu’il se tuait à la tâche il ne pouvait s’offrir à la fois un logement et ses cours. Il a alors préféré continuer le théâtre et a vécu dans sa voiture pendant qu’il courait les nombreux castings.
Mais la persévérance paie et Hardwick a enfin décroché en 2004 son premier grand rôle dans « Loser of the Free City ». S’ensuit alors quelques petits rôles dans « Beauty », « Miracle of St. Ann » ou encore « SIS ». Mais c’est en 2010 en jouant le rôle de Troy dans le hit indie « I will follow » qu’il connaît vraiment le succès. Il a fait également quelques apparitions dans des séries télévisées comme « Being Mary Jane ». Et depuis 2014, il incarne saison après saison Patrick St. James alias Ghost dans le thriller policier « Power ». Actuellement, sa valeur nette s’estimerait à plus de 1,5 million de dollars US.
Un mari et un père protecteur
A côté de sa carrière florissante, Omari Hardwick a aussi une vie de famille. Des rumeurs sur sa sexualité ont longtemps circulé (eh oui, dès qu’un gars est beau, musclé avec six packs et tutti quanti, difficile de freiner les rumeurs d’homosexualité !). Son mariage en 2012 avec sa petite amie de toujours Jennifer Pfautch a un peu calmé les mauvaises langues.
Mais malgré tout, son mariage a été un sujet de controverse auprès de ses fans. En effet, une partie de sa communauté s’en est pris à sa femme avec des termes peu élogieux et ont reproché à Hardwick de ne pas avoir choisi une épouse afro-américaine. Mais l’acteur a pris la défense de sa femme sur Twitter et jusqu’à présent il n’y a aucune ombre de divorce qui plane sur le couple. Avec leur deux enfants dont ils ont gardé l’anonymat pour les protéger (après la mauvaise expérience avec sa femme, c’est effectivement une bonne idée), le couple est plus fort et uni que jamais.